A propos du lien entre la physique classique, physique quantique et la biologie

Notre histoire sous l’angle naturopathique

L’énergie vitale détient la capacité d’animer la matière, créant ainsi la danse de la vie.

une approche quantique de la naturopathie

La substance vitale dont il est question à la capacité d’animer la matière, catalysant ainsi la danse de la vie.

La matière est en effet une symphonie de molécules, façonnée par le mouvement incessant des électrons autour du noyau atomique, constitué lui-même de protons et de neutrons abritant des quarks et des gluons.

Ainsi, la vie est tissée de particules quantiques liées au principe de non-localité et à la dualité onde-corpuscule.

Ces concepts ont été expérimentés avec succès lors de l’expérience des fentes de Young, qui a mis en lumière la non-localité (la délocalisation, en d’autres termes l’absence de localisation précise) ainsi que la superposition des états quantiques.

En somme, la position d’une particule en mouvement ne peut être définie de manière unique, mais plutôt par un ensemble de positions probables.

Ainsi, lorsque non observée, la particule existe dans plusieurs positions simultanément, mais une fois observée, elle se stabilise en un point spécifique, rappelant le jeu de l’enfant, « 1, 2, 3, soleil !« . Cette réalité conscientisée intuitivement tenait en haleine l’enfant que j’étais !

Cette révélation offre une perspective saisissante quant à son implication sur la santé.

En théorie, une personne en bonne santé pourrait coexister avec une autre en mauvaise santé.*** d’après les travaux de Loic Ternicien ( « Naturopathie quantique, pour une nouvelle approche alliant les sciences et les traditions » chez Guy Trédaniel, éditeur)

De toute évidence, la particule est consciente de si elle est observée ou non, comme en témoigne son comportement.

De surcroît, la physique quantique stipule que le temps tel que nous le concevons n’existe pas ; c’est l’observateur qui le crée.

Cette idée a été confirmée par une expérience complexe, mise en œuvre le 25/05/2015 grâce à la vision de John Archibald Wheeler, connue sous le nom de « Gomme Quantique à Choix Retardé ».

Cela représente une extension de l’expérience des doubles fentes, et démontre que le choix de la méthode de mesure du résultat futur peut être influencé par des actions passées.

En d’autres termes, avec ce dispositif, il est possible d’agir sur le passé afin de déterminer le résultat d’une mesure située dans le futur.

En considérant ce scénario, la « gomme quantique » efface la trajectoire entre son point de départ et son point d’arrivée lorsqu’elle interagit avec des points d’interférence entre ces deux trajectoires.

Par conséquent, le passé, le présent et le futur ne sont pas clairement définis en raison du comportement ondulatoire des particules.

De plus, il existe le principe de non-séparabilité, révélant que les particules élémentaires entretiennent un lien direct (pouvant être qualifié de « télépathie ») les unes avec les autres.

Le lien entre ces deux particules « jumelles » ne se dissipe pas en fonction de leur distance, mais naît des contraintes physiques nées de leur passé commun.

Les principes clés à retenir sont l’intrication, la non-localité, l’indivisibilité, notamment l’effet tunnel (la capacité de traverser les obstacles), ainsi que l’intemporalité et l’indiscernabilité.

Ce dernier point est assez simple à appréhender : en physique classique, il est commun d’attribuer des caractéristiques distinctes à différents objets.

Cependant, en physique quantique, cette distinction est impossible, car les objets sont indiscernables.

Pour illustrer ce concept, observons l’électron : si un électron est à droite et un autre à gauche, il est impossible de déterminer lequel est à droite et lequel est à gauche, car tout est en perpétuel mouvement et donc indiscernable.

La quantification également est simple à comprendre : dans le monde macroscopique, un objet peut se déplacer à n’importe quelle vitesse.

Cependant, dans le monde quantique, il est contraint de se déplacer à des vitesses spécifiques, sa transition d’une vitesse à une autre se faisant par sauts quantifiés.

En ce qui concerne l’information, l’univers présente une dimension énergétique offrant des phénomènes inexplicables par la physique classique.

Néanmoins, il subsiste des énigmes non élucidées, sur lesquelles travaillent les physiciens. C’est pour cette raison que certains scientifiques avancent une nouvelle théorie : la théorie de l’information et du champ A, promue par Ervin Lazlo.

Selon cette théorie, nous sommes immergés dans une énergie fondamentale à l’origine du monde physique. Cette notion n’est pas sans rappeler d’anciens mythes, tels que celui de Noun, l’océan primordial égyptien. Ces théories offrent une passerelle entre de précieuses connaissances anciennes et les pratiques contemporaines.

Lazlo a démontré par des équations mathématiques que toute l’information de l’univers est contenue dans un seul proton. Ainsi, puisque chaque proton en nous renferme la mémoire de l’univers tout entier, la meilleure manière de comprendre l’univers est de plonger à l’intérieur de nous-mêmes.

Cette information contenu dans le vide quantique représente un lien subtil, une connexion entre deux éléments situés à des endroits différents de l’espace-temps.

La communication instantanée entre particules, bien qu’au-delà de la vitesse de la lumière, est un concept fascinant

En physique classique, la matière constitue l’essence de tout corps et est formée de particules de tailles de plus en plus réduites.

De plus, cette matière est en réalité constituée de « vide », rempli d’énergie.

Les lois physiques sont régies par quatre forces fondamentales que sont la gravitation, l’interaction électromagnétique, l’interaction faible et l’interaction forte.

Chacune de ces forces joue un rôle crucial dans la compréhension du comportement des particules et des interactions entre elles, tandis que l’entropie mesure la répartition de l’énergie à différentes températures, pouvant créer ou détruire de la structure.

La physique quantique affirme que tout est quantique. Chaque particule existe sous forme d’onde et de particule, et toutes les probabilités coexistent tant qu’elles ne sont pas observées.

Selon Werner Heisenberg, « le grain de matière est insaisissable comme un nuage de points, où chaque point représente une position possible (plus ou moins probable) du grain ».

L’observateur influence l’expérience, et deux particules ayant un passé commun peuvent maintenir un lien direct et immédiat, quelle que soit la distance ou, dans certaines théories, le temps qui les sépare.

De plus, une particule peut, dans certaines circonstances, surmonter un obstacle. Tout se déroule dans le présent, offrant la possibilité d’interférer avec ce que l’on considère le « passé », le « présent » ou le « futur ».

Toutes les informations sont déjà présentes dans le champ informationnel, donnant une impulsion à la matière.

En outre, l’ensemble de l’univers est contenu dans chaque proton, avec le champ informationnel adoptant la configuration d’un hologramme.

Cette vision particulière de la vie, émergeant à la suite des concepts énoncés, permet une approche différente de la réalité.

En effet, en 1926, Schrödinger a été en mesure, à travers son équation, de décrire les ondes de matière associées aux particules constituant les systèmes physiques, offrant ainsi une perspective alternative sur la biologie.

Par exemple, l’ADN, molécule essentielle à la vie, ainsi que les protéines qui en découlent, sont régies par les lois de la mécanique quantique.

Des travaux scientifiques récents suggèrent que derrière les phénomènes macroscopiques du vivant se cachent également des phénomènes quantiques, à l’instar de la physique.

Il est donc difficile de comprendre pourquoi la biologie quantique n’est pas encore plus étudiée, alors que la physique quantique révèle que tout est quantique, et que la physique classique n’est qu’une approximation de la physique quantique.