Qu’est-ce la mémoire de l’eau et l’Homéopathie ?

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Lors d’un colloque organisé par l’Académie royale de médecine à Londres, des experts en physique, biologie et médecine, y compris des médecins de la famille royale britannique qui utilisent l’homéopathie depuis des générations, ont discuté de manière ouverte du sujet.

Cette liberté de dialogue a permis d’explorer des perspectives innovantes en biologie.

Des chercheurs comme Marc Henry et Gerald Pollack ont proposé que l’eau pourrait jouer un rôle central dans la transmission de l’information dans le corps humain.

Selon eux, l’eau présente dans les cellules serait structurée d’une manière particulière, ce qui lui permettrait de stocker et de transmettre des informations, contrairement à l’eau non structurée, comme celle du robinet.

Cette idée offre une nouvelle perspective sur le fonctionnement biologique et la santé.

Une expérience sur la détection de la bactérie Borrelia, responsable de la maladie de Lyme, consiste à extraire l’ADN d’un patient présentant des symptômes, puis à le diluer selon des principes homéopathiques.

Ces dilutions successives réduisent la concentration de matière à un niveau inférieur au nombre d’Avogadro*, ce qui, en théorie, ne laisse que de l’eau.

Il représente le nombre de particules (comme des atomes ou des molécules) contenues dans une mole d’une substance. (

Une mole est une unité utilisée en chimie pour mesurer une quantité de substance. Elle permet de compter les particules microscopiques comme les atomes, les molécules ou les ions.

Une mole correspond exactement à 6.022×10 puissance 23 entités, que ce soit des atomes, des molécules ou d’autres particules. Ce nombre est appelé le nombre d’Avogadro.

La mole est très utile en chimie car les atomes et les molécules sont extrêmement petits, donc les quantités que l’on manipule contiennent en réalité des milliards de particules. Par exemple :

  • La masse d’une mole d’une substance correspond à sa masse molaire, qui est exprimée en grammes par mole (g/mol).
  • Par exemple, la masse molaire de l’eau (H2_22​O) est environ 18 g/mol. Cela signifie que si on pèse 18 grammes d’eau, on a une mole d’eau, soit 6.022×10puissance 23 molécules d’eau.

Lorsqu’on parle de dilutions dépassant le nombre d’Avogadro, cela signifie que la dilution est tellement extrême qu’il n’y a plus de molécules de la substance d’origine dans la solution, seulement de l’eau.

Pourtant, en ajoutant une enzyme appelée polymérase, la réaction de PCR (amplification de l’ADN) permet de reconstruire l’ADN initial, même en l’absence apparente de molécules d’ADN.

Cela suggère que l’eau pourrait conserver des informations génétiques et les transmettre à d’autres systèmes biologiques.

Ces observations remettent en question les principes classiques de la chimie, car elles indiquent que l’eau, même après de fortes dilutions, pourrait transmettre des informations.

Elles soutiennent l’hypothèse que les effets de l’homéopathie pourraient être liés aux propriétés de l’eau structurée.

Selon ces chercheurs, l’eau agirait comme un support d’enregistrement, stockant les informations des substances avec lesquelles elle a été en contact.

Ces informations pourraient ensuite être interprétées par les systèmes biologiques du corps humain.

Ce phénomène, souvent désigné comme la « mémoire de l’eau », soutient l’idée que l’eau peut conserver des informations, même après des dilutions successives.

Cette théorie repose en partie sur les principes de la physique quantique.

Toute matière émet un spectre de fréquences électromagnétiques, et l’eau, composée de molécules qui interagissent avec des photons virtuels présents dans le vide quantique, pourrait capturer et conserver ces fréquences.

Un modèle mathématique montre que l’eau oscille entre deux états distincts, un peu comme un code binaire composé de 0 et 1, permettant le stockage et la transmission d’information codée.

Lorsque l’eau entre en contact avec une substance, ses fréquences se synchronisent avec celles de cette substance, entraînant un transfert d’énergie par résonance.

L’eau ainsi modifiée devient capable de conserver l’information des substances actives et de la restituer.

Ce principe pourrait expliquer en partie l’efficacité des préparations homéopathiques.

Le Dr Albert Claude Khouna a étudié ce phénomène à travers des expériences sur des récepteurs cérébraux de souris.

Il a observé que, même en l’absence de la molécule physique après des dilutions selon le principe homéopathique, l’eau continuait à produire un effet biologique.

Cela montre que l’eau, en mémorisant des informations, peut exercer un effet même en l’absence de la substance d’origine.

Ces résultats ouvrent la voie à une nouvelle compréhension du rôle de l’eau dans le corps humain et de l’homéopathie.

L’eau, qui compose 99,1 % des molécules corporelles, pourrait être un vecteur essentiel d’informations biologiques.